Été 2022 : les essentiels pour les vacances

Été 2022 : les essentiels pour les vacances
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Exposition au soleil, augmentation des températures, changements dans vos habitudes alimentaires, baignades… 

Les modifications de nos habitudes de vie spécifiques à la période estivale font courir des risques particuliers à notre organisme.

Otite, conjonctivite, coup de soleil…

Quelles sont les pathologies estivales les plus fréquentes ? Que faire pour les éviter ? Comment les traiter ?

Concilio vous explique tout.

1. L’otite externe

Qu’est-ce que c’est ?

L’otite externe est une inflammation du conduit auditif externe, ou plus exactement de la peau du conduit auditif externe. Le conduit auditif externe est la partie qui se situe entre le tympan et le pavillon de l’oreille.  Cette inflammation est provoquée par des bactéries (90% des cas) ou des champignons (10%) restés bloqués dans l’oreille à la suite d’une baignade en mer ou en piscine, ou qui se sont développés à cause de l’humidité présente dans le conduit. Les principaux facteurs de risque de développer ce type d’infection sont la transpiration, les séjours dans des lieux chauds et humides, la baignade dans les lacs ou les piscines. On parle d’otite « du baigneur ». Elle est douloureuse mais elle se traite facilement si elle est diagnostiquée à temps.

D’autres facteurs, dont certains sont plus facilement contrôlables à l’échelle individuelle, peuvent être à l’origine de cette pathologie :

–l’utilisation répétée de coton-tige, qui abîme le conduit et le rend vulnérable (en plus de ne pas être écologique),

–le lavage brutal de l’oreille,

–l’utilisation de produits irritants, comme certains savons ou bains moussants,

–le port d’embouts auriculaires de prothèses acoustiques mal adaptés chez les personnes malentendantes,

–un conduit auditif trop étroit ou rétréci, responsable d’une rétention d’eau et d’humidité,

–des pathologies préexistantes comme le diabète, les allergies, le psoriasis et l’eczéma du conduit auditif.

Quels sont les symptômes ?

Les symptômes d’une otite externe sont :

–une sensation de bourdonnement dans l’oreille,

–des démangeaisons à l’intérieur du conduit auditif,

–une douleur intense à l’oreille, surtout le soir et lors de la marche,

–une sensibilité augmentée du pourtour de l’oreille et du pavillon,

–un gonflement du conduit auditif externe,

–une douleur à la mâchoire,

–une légère perte d’audition,

–des vertiges,

–un liquide qui s’écoule de l’oreille (clair ou purulent).

Si l’otite se complique, elle peut entraîner de la fièvre, une fatigue importante, un œdème autour de l’oreille, une surdité plus profonde.

Comment l’éviter ?

Pour éviter de développer une otite externe :

–assurez-vous de vous baigner dans de l’eau propre : les eaux polluées augmentent les risques d’infection. Renseignez-vous sur la qualité des eaux de baignade et si vous vous baignez dans une piscine, assurez-vous qu’une analyse de l’eau est faite régulièrement.

–si vous avez tendance à développer fréquemment des otites externes, vous devriez porter des bouchons spécialement destinés à la protection des oreilles lorsque vous vous baignez ; Vous pouvez en trouver en pharmacie, en ligne ou dans les magasins de sport.

–évitez autant que possible de nager la tête sous l’eau ;

–n’utilisez pas de coton-tige, ni tout autre objet pointu pour vous nettoyer les oreilles : ils risquent d’abîmer les conduits auditifs et donc de les rendre vulnérables aux bactéries.

Rappelez-vous qu’il est normal d’avoir un peu de cérumen dans l’oreille : celui-ci exerce un rôle de protection.

–une oreille sèche ne s’infecte jamais. Pour bien sécher vos oreilles, vous pouvez utiliser un sèche-cheveux, en alternant le chaud et le froid par des mouvements de va-et-vient, à distance raisonnable de l’oreille, pour sécher l’intérieur sans trop chauffer la peau.

Comment soigner une otite externe ?

Pour soigner convenablement une otite externe, il est nécessaire de consulter un médecin, qui doit examiner votre oreille pour vérifier la présence ou non d’une perforation.

Si c’est une otite bactérienne, le médecin vous prescrira probablement un traitement antibiotique local (sous la forme d’un collyre).

Les gouttes auriculaires nécessaires pour traiter une otite externe ne sont pas disponibles sans ordonnance.

Attention, concernant les collyres, quelques précautions s’imposent :

–n’utilisez pas de gouttes pour les oreilles sans demander l’avis de votre médecin ou de votre pharmacien,

–suivez les instructions des professionnels de santé à la lettre pour un traitement optimal,

–n’appliquez pas de produit dans l’oreille si la date de péremption est dépassée ou si vous ne savez pas comment le produit a été conservé,

–ne mettez pas de tampon d’ouate ou de papier mouchoir dans l’oreille après y avoir mis les gouttes : ils vont absorber le produit en plus d’irriter le conduit,

–en présence de fièvre ou de symptômes qui s’aggravent 48 heures après le début du traitement par collyre, consultez un médecin. Il vous prescrira peut-être un antibiotique par voie orale.

Enfin, le seul moyen de soulager la douleur d’une otite externe est de prendre des antalgiques comme le paracétamol. Évitez impérativement l’automédication : les effets indésirables de certains produits peuvent altérer durablement voire définitivement votre audition. Par exemple, ne prenez jamais d’anti-inflammatoires non stéroïdiens, comme l’ibuprofène. Si la douleur est insupportable, il vaut mieux consulter rapidement.

2. La conjonctivite 

Qu’est-ce que c’est ?

La conjonctive est la membrane qui recouvre la partie blanche de l’œil.

La conjonctivite est l’inflammation de cette membrane.

Elle peut être d’origine virale, bactérienne, allergique ou irritative.

Lorsqu’elle est virale ou bactérienne, elle est très contagieuse.

C’est une pathologie fréquente et sans danger pour la vision si elle est soignée rapidement.

Quels en sont les symptômes ?

La conjonctivite peut associer divers symptômes :

–une rougeur du blanc de l’œil et de l’intérieur des paupières (la partie blanche de l’œil devient rouge),

–une démangeaison au niveau des paupières qui peuvent être enflées (on appelle cela un « œdème palpébral »),

–une sensation de gêne, de picotements, d’irritation au niveau de l’œil. L’impression d’avoir un corps étranger dans les yeux,

–un écoulement de l’œil qui peut être épais et purulent,

–des paupières collées le matin au réveil : c’est un symptôme très fréquent et typique,

–une vision brouillée ou une gêne à la lumière (« photophobie »), mais sans baisse d’acuité visuelle.

Mais l’infection peut s’étendre, malgré le traitement, à la cornée : on parle alors de « kératite » : elle se traduit par une sensation de sable dans l’œil, une douleur franche et une baisse de l’acuité visuelle. Il ne s’agit pas d’une simple gêne. Cette complication doit être traitée rapidement car elle met en danger votre vue.

D’autres pathologies sévères, comme les uvéites ou le glaucome aigu peuvent ressembler à une conjonctivite : n’hésitez pas à consulter un médecin pour lever le doute.

Comment l’éviter ?

La conjonctivite virale, qui touche les deux yeux en même temps, est très fréquente, surtout chez l’enfant.

Elle est due à divers virus très contagieux, responsables de véritables épidémies de conjonctivites dans les crèches ou les écoles. Le lavage des mains est une priorité.

Les conjonctivites bactériennes sont beaucoup moins fréquentes et sont le plus souvent dues à un streptocoque ou à un staphylocoque. La conjonctivite bactérienne a tendance à n’affecter qu’un œil, du moins au début, contrairement à la conjonctivite virale.

Elle se traduit par une irritation et une sensation de corps étranger dans l’œil (« comme des grains de sable »). Les paupières sont généralement enflées et collées au réveil par des sécrétions purulentes, jaunes et épaisses. Ce sont elles qui contiennent la bactérie. Là aussi le lavage des mains est primordial.

Enfin, la conjonctivite allergique (un fléau pour les personnes allergiques…) débute au printemps et est souvent associée à une rhinite allergique. Elle récidive régulièrement à la même saison, chaque année, en suivant les floraisons de diverses plantes des arbres. Certaines conjonctivites allergiques (acariens, pouls d’animaux…) sont présentes toute l’année.

Les allergènes les plus fréquents sont les pollens de graminées, d’arbres ou d’herbacés.

La meilleure façon de s’en prémunir est d’éviter d’entrer en contact avec ces derniers.

Comment la traiter ?

La plupart des conjonctivites guérissent avec des soins locaux (collyre), qui contiennent un antibiotique.

Les conjonctivites saisonnières allergiques sont à part. Le traitement est généralement un antihistaminique par voie locale, parfois associé à des comprimés (exemple : Aerius).

3. Le coup de chaleur 

Qu’est-ce que c’est ?

Notre organisme lutte contre la chaleur en transpirant. L’évacuation de la sueur consomme des calories et refroidit la peau, mais l’exercice physique intense ou les climats chauds et qui associent l’humidité à la chaleur, peuvent se révéler dangereux pour la santé lorsque le mécanisme de régulation de la température de notre corps est insuffisant. On appelle cela une « hyperthermie » ou un « coup de chaleur ».

Le risque d’hyperthermie est important pour les enfants, les personnes âgées ou fragiles, mais aussi pour les adolescents et les adultes qui pratiquent des activités physiques intenses et prolongées. Les personnes qui souffrent de maladies aiguës ou chroniques et celles qui prennent des médicaments sont également concernées.

Le coup de chaleur est une urgence médicale car il peut engager le pronostic vital.

Dans sa forme bénigne, s’il est rapidement pris en charge, les symptômes durent généralement moins de 12 heures.

À noter : l’insolation est une forme plus légère du coup de chaleur : la température du corps est moins élevée, ne dépassant pas les 40°C. Les symptômes sont moins sévères et le rétablissement plus rapide.

Quels sont les symptômes ?

–des maux de tête,

–des vertiges,

–une sensation de chaleur intense,

–la peau qui devient rouge, sèche, moite et chaude,

–des troubles du comportement pouvant aller de la somnolence à l’agressivité,

–des vertiges,

–une fatigue et une soif intense,

–des crampes musculaires,

–des nausées, des vomissements,

–une fièvre supérieure ou égale à 40°,

–un pouls et une respiration accélérés,

–une chute de la pression artérielle, qui peut aboutir à un coma mortel.

Comment l’éviter ?

Pour éviter le coup de chaleur, il faut :

–boire de l’eau régulièrement, sans attendre d’avoir soif (au moins 3 litres d’eau par jour en été),

–éviter les efforts physiques et le sport lorsqu’il fait chaud : ils augmentent rapidement la température interne de votre corps,

–porter des vêtements légers, amples, qui favorisent la circulation de l’air. Choisissez plutôt des tenues de couleur claire : elles retiennent moins la chaleur,

–se rafraîchir plusieurs fois par jour : prendre des douches, se mouiller la tête, utiliser des brumisateurs ou du linge humide,

–les ventilateurs ? Ils procurent une sensation de fraîcheur agréable par la circulation de l’air, mais lorsque l’air est très chaud, ils ne vous rafraîchissent que très peu. Il est préférable d’y associer d’autres mesures, comme de vous mouiller régulièrement,

–éviter l’alcool, les boissons sucrées et à forte teneur en caféine. Préférez l’eau plate, gazeuse (plus riche en sels minéraux) et les jus de fruits frais,

–continuer à s’alimenter normalement, en privilégiant les fruits et les légumes : salade de crudités, soupe fraîche, laitages (yaourt liquide, milk-shakes…),

–se couvrir la tête avec un chapeau ou une casquette,

–ne pas faire de sieste au soleil !

–rester dans des pièces bien aérées et fraîches : fermez les volets et ouvrez les fenêtres pour laisser passer l’air. Si votre appartement est vraiment chaud, essayez de rester plutôt dans des endroits frais ou climatisés aux moins deux heures dans la journée (grand magasin, cinéma, lieu public…).

Que faire ?

Si vous reconnaissez un coup de chaleur ou si vous le suspectez (par exemple parce que l’un de vos proches présente certains symptômes après avoir pratiqué une activité physique au soleil), vous devez demander une assistance médicale au plus vite : appelez le 15.

En attendant, il faut placer le sujet à l’ombre et le refroidir. Aspergez-le d’eau froide et ventilez-le.

Encore mieux : donnez-lui une douche froide ou un bain frais.

Sachez qu’aucun traitement pharmacologique ne peut guérir le coup de chaleur.

4. Le coup de soleil

Le coup de soleil (ou érythème solaire) correspond à une brûlure de la peau provoquée par une exposition au rayon UV A et UV B.

Il s’agit généralement d’une brûlure au premier degré.

Dans les cas les plus sévères, la brûlure est de second degré, provoquant des cloques. Le coup de soleil de second degré peut laisser des cicatrices cutanées. À long terme, c’est un facteur qui prédispose au développement des cancers cutanés.

La prévention est votre meilleure arme.

Quels en sont les symptômes ?

Les principaux symptômes sont une rougeur de la peau accompagnée d’une sensation de chaleur et une douleur.

À un stade plus grave, des maux de tête et de la fièvre peuvent apparaitre.

Dans ces derniers cas, il faut demander conseil à un médecin ou un pharmacien pour éliminer un coup de chaleur.

Les symptômes peuvent s’accentuer dans les deux jours qui suivent le coup de soleil mais ils s’estompent au bout de quelques jours.

La durée d’un coup de soleil dépend de son importance. Lorsqu’il est superficiel, il disparaît généralement au bout d’une semaine.

Dans certains cas, notamment en cas de cloques, il peut mettre un mois à guérir.

Comment l’éviter ?

On ne le répétera jamais assez : il faut éviter de s’exposer au soleil.

Les rayons du soleil endommagent l’ADN des cellules et provoquent des cancers.

Si vous faites une activité en plein air, appliquez de la crème solaire (indice 50) toutes les deux heures, y compris les jours nuageux.

Pensez à remettre de la crème solaire après la baignade et évitez de vous exposer entre 12 heures et 16 heures car l’intensité des rayons est maximale. 

Attention :

– une crème protectrice ouverte l’année précédente n’a plus la même protection. Il faut acheter un nouveau tube chaque été. Ne faites pas confiance à une crème solaire « résistante à l’eau ».

– continuez à vous protéger, même lorsque vous êtes bronzé : vous n’êtes absolument pas protégé.

– contrairement à certaines idées reçues, les compléments alimentaires et les autobronzants n’offrent aucune protection solaire.

Comment le traiter ?

Le coup de soleil doit être rapidement apaisé.

Il faut :

–se mettre à l’ombre,

–boire de l’eau : quelques gorgées d’eau froide d’abord, puis une consommation d’eau régulière pendant les premiers jours suivant le coup de soleil,

–dans les heures qui suivent l’exposition au soleil, rincer abondamment la partie du corps concernée avec de l’eau du robinet tiède, pendant 15 minutes. La douleur devrait disparaître. Vous pouvez aussi prendre un bain d’eau tiède,

–hydrater la peau,

–ne pas s’exposer, et couvrir la peau avec des vêtements longs. La peau brûlée par le soleil doit être complètement couverte jusqu’à ce qu’elle soit complètement guérie.

Si le coup de soleil est associé à un évanouissement, de la fièvre, des nausées, des maux de tête, où qu’il soit très étendu, il vaut mieux consulter un médecin : ce sont les symptômes du coup de chaleur.

5. L’infection urinaire

Qu’est-ce que c’est ?

Elles sont plus nombreuses en été, car nous ne buvons pas suffisamment.

Les cystites correspondent à une inflammation de la vessie provoquée par la présence d’une bactérie intestinale.

Elle provoque une envie d’uriner fréquente et une sensation de brûlure à la miction.

Comment l’éviter ?

La prévention des infections urinaires consiste à éviter la pénétration et la stagnation des bactéries dans la vessie.

Buvez abondamment en été : plus vous urinez, plus le risque de développer une cystite est faible.

Lorsque vous allez aux toilettes, essuyez-vous toujours de l’avant vers l’arrière et veillez à vider totalement votre vessie afin d’éviter la stagnation des bactéries dans les urines restantes.

Comment la traiter ?

Le seul traitement efficace contre l’infection urinaire est l’utilisation des antibiotiques. Aucun autre traitement disponible sans ordonnance n’a fait la preuve de son efficacité.

Il existe un traitement antibiotique « monodose » de l’infection urinaire qui agit très rapidement.

Pour l’obtenir et soigner le plus rapidement possible l’infection, une consultation ou une téléconsultation avec un médecin est indispensable.

6. L’intoxication alimentaire.

Qu’est-ce que c’est ?

Il s’agit de la prolifération d’un microbe (bactérie ou parasite) dans le tube digestif, qui provoque une inflammation de celui-ci.

Un pique-nique mal préparé au bord de la mer, et c’est l’intoxication alimentaire assurée.

Quels en sont les symptômes ?

–des maux de tête (ou « céphalées),

–des nausées,

–des vomissements,

–des diarrhées parfois très liquides, glaireuses, ou contenant du sang,

–de la fièvre,

–des crampes d’estomac,

–une perte de poids,

–une grande fatigue.

Comment l’éviter ?

Les aliments à risques sont : la viande, les œufs, la charcuterie, les poissons et des produits laitiers : les composants d’un pique-nique parfait !

Pour éviter les intoxications alimentaires vous devez :

–respecter la chaîne du froid,

–ne pas laisser vos aliments au soleil ou à l’air libre,

–consommer rapidement les produits déjà confectionnés comme les salades, les sandwichs,

–vous laver les mains avant de cuisiner,

–nettoyer votre frigo et en vérifier la température,

–utiliser une planche à découper pour chaque aliment (et ne surtout pas les couper sur une surface dont vous n’êtes pas certain de la propreté).

Comment la traiter ?

Le traitement d’une intoxication alimentaire revient à en traiter les symptômes et à détruire la bactérie avec un antibiotique.

Vous devez vous procurer :

–des « antiémétiques » pour calmer les vomissements (exemple : Primperan),

–un traitement contre la diarrhée (exemple : Smecta),

–un traitement anti spasmodique, qui calmera les crampes d’estomac (exemple : Spasfon),

–un kit de réhydratation orale contenant des sels minéraux pour se réhydrater.

Consultez ensuite un médecin, qui vous prescrira le traitement antibiotique adéquat.

L’intoxication alimentaire régresse en moins de 5 jours. Le risque est avant tout la déshydratation chez les personnes les plus fragiles (personnes âgées, enfants…) : n’hésitez jamais à consulter un médecin.

 

À ne pas oublier : La trousse d’urgence des vacances 

Pour soigner tous les bobos de la famille, soyez prêt et ayez toujours sous la main une bonne trousse d’urgence pour les vacances pour faire face à toutes les situations. 

Celle-ci doit contenir :

–des pansements stériles,

–des dosettes de sérum physiologique,

–des compresses,

–un rouleau de sparadrap,

–de la gaze,

–une paire de gants,

–des ciseaux,

–une pince à écharde,

–un thermomètre,

–des mèches hémostatiques,

–un désinfectant local,

–une crème antihistaminique,

–du paracétamol,

–une crème anti-brûlure,

–un anti émétique.

 

Vous voilà équipé pour passer de bons moments et éviter de vous retrouver dans une salle d’attente pendant vos vacances…

N’hésitez jamais à téléconsulter : si c’est possible, un médecin peut vous soigner à distance. Si c’est nécessaire il vous orientera vers une consultation physique.

Concilio peut vous aider et vous accompagner.